Le géant américain des salons de café a lancé fin décembre, en France et en Allemagne, une nouvelle application pour smartphone, regroupant moyen de paiement et programme de fidélité. Une façon de simplifier la vie de ses clients et de collecter de la data, que nous vous présentons en 5 points clés.
1/ Une application pour payer…
Les enseignes de grande distribution Auchan et E. Leclerc l’avaient déjà essayée, Starbucks s’y met aussi. L’application Starbucks France, disponible sur iOS et Android, permet de payer à partir de son smartphone. Une fois les coordonnées bancaires enregistrées et le compte rechargé, le client fait simplement scanner un code-barres à la personne en caisse. L’opération est sécurisée puisque l’accès au compte bancaire est indirect.
2/… et pour fidéliser aussi
Chaque transaction effectuée offre à son utilisateur des points, nommés « étoiles ». Dans l’application, un onglet « Récompenses » permet aux utilisateurs de connaître ce qui les sépare d’un bonus, comme un cadeau ou une boisson gratuite.
3/ Le cross-canal à la mode Starbucks
Un compte créé sur le site de Starbucks est actif sur le site de la marque, et inversement. Cela permet aux clients de retrouver leurs informations quel que soit le canal de communication utilisé.
4/ Une façon pratique de contacter les clients
Offres spéciales, opérations promotionnelles, récompenses : mieux encore qu’une newsletter, l’application permet de rentrer en contact directement avec les smartphones des clients. Ceux-ci peuvent même recevoir des notifications sur leur écran d’accueil. L’assurance pour Starbucks de voir sa communication lue par sa cible !
5/ Bientôt des offres personnalisées
C’est le prochain objectif du géant américain du café : analyser les données collectées sur les 35 000 porteurs de la carte de fidélité et de paiement, ainsi que sur les futurs usagers de l’application mobile. Starbucks pourra alors proposer des offres personnalisées à ses clients, les inciter à venir plus souvent et leur faire tester de nouveaux produits.
Source de l’image à la Une : Flickr (no name)
